Une fois… et puis deux !

19/03/2015

Dans les jeux de chance tel que l’Euromillion, il existe quatre catégories de participants. La première regroupe ceux qui jouent sans vraiment y croire car, c’est bien connu, « ça n’arrive qu’aux autres », la deuxième englobe ceux qui y croient dur comme fer en y jouant toutes les semaines. La troisième catégorie est simplement nos grands chanceux qui gagnent le pactole. La quatrième est un peu plus particulière. Elle comprend les doubles gagnants ! Oui, oui, vous avez bien lu. Ils ne se contentent pas de gagner une fois mais deux ! Quel culot… Et s’ils détenaient le secret pour gagner à l’euromillion ?

Billet de l'euromillion validé

https://www.flickr.com/photos/andywilkes/

C’est une histoire insolite mêlant chance et hasard que vous allez découvrir. Un joueur parisien a encaissé deux chèques de la modique somme de 35.565.110 euros à quelques jours d’intervalles. Comment ? Il a tout simplement validé deux fois la même grille gagnante dans le même bar-tabac. Lorsque l’on sait que l’on a une chance sur 76.275.360 de cocher les bons numéros du premier rang, on ne peut même plus parler de chance mais de bonne étoile… Il est donc devenu en 2007 le septième plus grand gagnant français de la Française des Jeux.

C’est une autre histoire, à peu près similaire, qui est arrivée en 2010 à un Américain résidant au Missouri. Ernest Pullen est un habitué des jeux de grattage et ce que l’on peut dire c’est que les jeux de grattage le lui rendent bien ! En effet, en trois mois, ce militaire à la retraite a gagné deux fois à des jeux de hasard. La première se passe en juin : il choisit un billet au 100 Million Dollar Blockbuster et décroche le million de dollars. De quoi arrêter de jouer ? Pas tout à fait puisqu’en septembre de la même année il touche le double au Mega Monopoly… L’heureux gagnant raconte que six ans plus tôt il avait rêvé qu’il gagnerait beaucoup d’argent… Quant à sa femme, elle se voit déjà encaisser le troisième chèque, mais gagné par ses soins cette fois-ci !

Comme quoi, un bonheur n’arrive jamais seul

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